Actions départementales
Le Département agit en faveur de l’agriculture biologique et responsable dans le Val-de-Marne
Le Département agit en faveur de l’agriculture biologique et responsable dans le Val-de-Marne
Trois mesures qui ont été décidées par la majorité et que je porte déclinent notre engagement en faveur de l’agriculture biologique. Avec près de 1000 hectares, soit 4,6% de sa superficie, consacrés à des espaces agricoles, le Val-de-Marne est le département de la petite couronne où l’agriculture reste la plus présente.
lettre à Manuel Valls
lettre à Manuel Valls
Monsieur le Premier Ministre,
Le département du Val-de-Marne se trouve dans une situation critique du point de vue de la démographie médicale. Le Conseil national de l’ordre des médecins a publié son Atlas 2015 et vient confirmer nos craintes.
En France, de manière globale, 25% des médecins diplômés n’exercent pas de fonction clinique, les jeunes médecins travaillent moins que leurs prédécesseurs voulant mieux concilier, à juste titre et à bon droit, vie de famille et vie professionnelle.
Contrat de site (contrat pluriannuel d’investissement)
Conseil d’administration de l’UPEC du 10 juillet 2015
Le rôle du Conseil départemental
En tant que conseillère déléguée à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, je représente le Conseil départemental auprès des établissements d’enseignement supérieur du Val-de-Marne. A cet effet, l’Université Paris Est Créteil (UPEC) prévoit dans ses statuts un collège des personnalités extérieures ayant droit de vote au conseil d’administration. Au vu des nombreux partenariats entre le Conseil départemental et l’université, cette présence est bienvenue et souhaitable.
Le Contrat de site 2015-2019 a été voté par le Conseil d’administration de l’UPEC le 10 juillet. N’étant pas disponible, j’ai donné une procuration. En revanche, j’ai choisi de m’abstenir sur le contrat de site. Explications.
Comprendre mon vote fusion UPEC-UPEM
Le projet de fusion UPEC-UPEM
Conseil d’administration de l’UPEC du 26 juin 2015
Le rôle du Conseil départemental
En tant que conseillère déléguée à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, je représente le Conseil départemental auprès des établissements d’enseignement supérieur du Val-de-Marne. A cet effet, l’Université Paris Est Créteil (UPEC) prévoit dans ses statuts un collège des personnalités extérieures ayant droit de vote au conseil d’administration. Au vu des nombreux partenariats entre le Conseil départemental et l’université, cette présence est bienvenue et souhaitable.
Depuis que je suis entrée en fonction et pris la succession de Madame Liliane Pierre sur la délégation Enseignement supérieur et recherche, j’ai suivi avec attention le processus de création de la Nouvelle Université1, qui consiste principalement en la fusion entre les universités Paris Est Créteil (UPEC) et Marne-la-Vallée (UPEM).
Le projet de fusion UPEC-UPEM guidé par la politique de l’Etat en matière d’enseignement supérieur
Résoudre l’enjeu crucial de la démographie médicale
Les chiffres sont connus depuis longtemps, et le dernier Atlas du Conseil national de l’ordre des médecins vient confirmer ce triste constat : les déserts médicaux sont appelés à grandir et se multiplier.
A l’avenir, les médecins généralistes (libéraux et salariés) seront de moins en moins nombreux. Pour plusieurs raisons. Beaucoup exercent encore alors qu’ils pourraient être à la retraite et peuvent donc quitter leur cabinet, de nombreux autres approchent de l’âge de la retraite. La féminisation de la profession médicale et les évolutions des attentes des jeunes médecins femmes et hommes ont de réels effets. Ceux-ci veulent à bon droit concilier vie privée et vie professionnelle. En conséquence, ils travaillent moins d’heures par semaine et exercent mois souvent en libéral et en ville, préférant le statut salarié et en hôpital. En effet, avoir un cabinet suppose des compétences gestionnaires et des surcharges de travail importantes et très contraignantes. Enfin, un quart des diplômés en médecine n’exercent jamais de profession médicale au cours de leur vie : ils travaillent dans les laboratoires pharmaceutiques, dans les institutions régulatrices de la santé (comme les agences régionales de la santé), ou au sein de la médecine du travail par exemple. Or le numerus clausus reste le même.